Les loisirs du 19 au 21 janvier 2018 - Blog Mooslargue 2016 -
L'actualité et les agendas des sorties, loisirs, musique, concerts, spectacles, musées, programmation cinéma, magazine art de vivre, shopping, formation - Mulhouse, Colmar, Strasbourg, Haut-Rhin 68 et Bas-Rhin 67, Alsace
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AVIS AUX AMATEURS DE RUNNING
Marche populaire nocturne à Waldighoffen 2018
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20/01/2018
Départ et arrivée à la Salle polyvalente, rue des écoles Waldighoffen
© Olivier Tuffé - Fotolia
Parcours de 5 et 10 km qui passe par Waldighoffen, Riespach, Illtal (Oberdorf).
La soirée se terminera par la remise des récompenses aux groupes les plus nombreux ainsi que le challenge Raymond Doubs.
Organisée par le Basket Club de Waldighoffen.
Le club organise également le même soir un trail nocturne : la Wald'Run Night.
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20/01/2018
© basket waldighoffen
Vous l'attendiez toutes et tous, la Wald'Run Night est de retour pour une 2ème édition le 20 janvier 2018 !
Ce trail nocturne est de nouveau organisé par le CSSPP Waldighoffen en marge de notre traditionelle marche populaire de nuit.
Au choix 2 parcours : 5 km ou 10 km.
Trail non chronométré, sans dossard. Parcours balisé par des flèches lumineuses- prévoir de quoi s'éclairer.
Village départ Vestiaires et douches Buvette et restauration sur place
Limité à 400 participants
Plus de renseignements par mail : waldighoffencsspp@gmail.com
Infos pratiques
- Salle Nathan Katz - Waldighoffen 68640 Waldighoffen
Renseignements :
Sur réservation
Horaires :Samedi 20 Janvier 2018, départ 20h15 (prévoir d'etre sur place au moins 30/45 mn avant le départ).
Tarifs :Tarif unique de 10€, sur inscription
Course Loisirs
Second rendez-vous nocturne avec la Wald’run night
Le basket-club de Waldighoffen organise samedi 20 janvier la deuxième édition de sa course nocturne, la Wald’run night.
Les organisateurs réunis jeudi soir pour peaufiner les derniers détails de la manifestation. DRAvis aux amateurs d’efforts insolites : le basket-club de Waldighoffen remettra le couvert, samedi 20 janvier, pour la deuxième édition de sa course nocturne, la Wald’run night. Comme l’an dernier, le rendez-vous est organisé par le CSSPP Waldighoffen, en marge de la traditionnelle marche populaire de nuit. Les parcours de 5 et 10 km emprunteront d’ailleurs les circuits de la marche populaire qui a lieu le même jour.
L’an dernier, la première édition de la Wald’run night a attiré quelque 300 sportifs courageux. Pour mieux braver le froid, les participants avaient eu droit à un échauffement en musique en compagnie de l’association Fit and move. Contrairement à l’année dernière, il n’y aura plus trois mais seulement deux partenaires (locaux) sur la manifestation (Fit and move et Tous au sport), le 3e (Running connexion) s’étant retiré juste après l’impression des affiches et des flyers et profite malgré tout de la pub faite autour de l’événement…
Cette seconde course à la lampe frontale devrait encore attirer son lot d’amateurs à Waldighoffen. Les départs des deux parcours s’effectueront à 20 h 15 dans la foulée de la marche populaire dont les départs sont donnés entre 15 h et 20 h.
Particularité de cette manifestation, il s’agit d’une course nocturne non chronométrée, sans dossards et sans classement, une course sans pression de résultat.
Les inscriptions restent ouvertes jusqu’au vendredi 19 janvier. Chaque participant se verra remettre un petit cadeau souvenir. Si le départ se fera à 20 h 15 de la salle polyvalente, les participants sont invités à venir en avance. Vestiaires et douches seront mis à leur disposition au village départ. Le parcours sera fléché par des piquets lumineux, mais une lampe de poche ou un éclairage frontal est indispensable.
À l’arrivée, les basketteurs proposeront une petite restauration : soupe de légumes et saucisse, jambonneau-spaetzle, viennoises-pain, et un stand de pâtisseries maison-café. On y trouvera aussi les yaourts A Gueter qui seront proposés par les jeunes agriculteurs.
Y ALLER Samedi 20 janvier. Départ à 20 h 15 (pour les deux parcours) de la salle polyvalente de Waldighoffen. Vestiaires et douches sur place. Buvette et restauration à la salle. Tarif unique : 10 € quel que soit le parcours choisi. Inscription jusqu’au 19 janvier (limité à 400 participants). Formulaires d’inscription disponibles chez : Fit and move (Waldighoffen), Tous au sport (Waldighoffen), à la mairie de Waldighoffen ou par Email à waldighoffencsspp@gmail.com
L'Alsace du 13 janvier 2018
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Du 16/01/2018 au 21/01/2018
Retour à Strasbourg pour la troupe des Enfoirés ! Les Enfoirés viendront fêter les 10 ans de la salle, qu'ils avaient inauguré en grandes pompes en 2008.
© www.enfoires.com
Attention, changement de calendrier pour les habitués : les concerts auront lieu du mardi 16 janvier au dimanche 21 janvier 2018. Sur scène, des dizaines d'artistes viendront chanter, s'amuser et se déguiser pour récolter des fonds en faveur des Restos du Cœur, créés il y a plus de 25 ans par le regretté Coluche.
La mise en vente des billets se fera, comme à l'accoutumée le dernier mardi de novembre, à savoir le 28 novembre 2017 dans plusieurs points de vente de la région, ainsi que par téléphone et sur internet. Les points de vente "physiques" ouvrent les ventes à partir de 9h, tandis que la vente sur les sites internet (France Billet, Ticketmaster, Digitick) et par téléphone débute à 10h.
Attention, la vente est toujours limitée à 4 billets par personne. Les places sont numérotées (sauf pour la fosse).
Quelques jours avant les concerts, il arrive que des places soient remises en vente, en fonction de l'agencement des places assises/places debout une fois le décor installé.
Infos pratiques
- Zénith de Strasbourg 67000 Strasbourg
Renseignements :Horaires :
Du Mardi 16 Janvier 2018 au Dimanche 21 Janvier 2018
Tarifs :1er concert du mardi 16 janvier 2018 : - 65€ en gradins catégorie 1 (assis numéroté) - 55€ en gradins catégorie 2 (assis numéroté) - 45€ en fosse (debout)
Autres concerts (du 17 janvier au 21 janvier 2018) : - 75€ en gradins catégorie 1 (assis numéroté) - 65€ en gradins catégorie 2 (assis numéroté) - 55€ en fosse (debout)
Du 10/1/2018 au 27/1/2018
La Filature - Mulhouse Mulhouse
DRLa danseuse tunisienne Oumaima Manai se déjoue du fil barbelé dans Nitt 100 limites, à voir à l'Espace Tival à Kingersheim
A travers son festival Les Vagamondes, la Filature donne un coup de projecteur sur la création dans les pays du pourtour méditerranéen, et depuis plusieurs saisons du Moyen Orient et de l’Afrique entière. Là où être un artiste peut être un acte de résistance en soi : « On considère que c’est du devoir de la Filature d’offrir à ces artistes la possibilité de créer et de montrer leur travail », explique sa directrice, Monica Guillouet-Gélys.
X-Adra : des prisonnières syriennes témoignent
Et s’il est bien un pays où il difficile de travailler en ce moment, c’est bien la Syrie, et c’est pour cela que la Filature a accueilli en résidence en décembre dernier le metteur en scène syrien, aujourd’hui réfugié en France, Ramzi Choukair pour une création mondiale : X-Adra.
Un nom qui donne froid dans le dos puisque c’est celui d’une prison dans la banlieue de Damas, où ont été emprisonnées Ayat, Mariam, Kenda…sous le régime de Bachar-el-Assad ou de son père. Pendant un an, Ramzi Choukair a recueilli le témoignage de femmes syriennes, âgées de 27 à 62 ans, qui vivent aujourd’hui à Paris, Lyon, Toulouse ou Berlin. Des témoignages forts comme ce transsexuel qui a fait son coming out en prison ou cette communiste qui refuse de faire un enfant dans un pays cadenassé par les autorités. « Je veux mettre en avant ces femmes, ce qu’elles ont vécu avant, pendant et après la prison. Ce sont des femmes fortes, solides, qui se sont battues pour rester vivantes, qui ont un combat à mener », déclare le metteur en scène qui a fait de ces prisonnières des actrices, qui porteront leurs propres paroles sur le plateau.
La parole des réfugiés
On restera en Syrie et aux côtés des réfugiés dans le spectacle Loin de Damas, un projet élaboré par compositeur et violoniste tunisien Jasser Haj Youssef en résidence aux Dominicains de Guebwiller, partenaire du festival.
Cette création à écouter sous casque nous fait entendre les récits radiophoniques de migrants recueillis par Aline Pénitot, les poèmes arabes d’Omar Youssef Souleimane et évidemment la viole d’amour de Jasser Haj Youssef.
Le metteur en scène iranien Kamal Hashemi fait lui le choix inverse dans sa nouvelle création It’s a good day to die, une pièce entre théâtre et cinéma, présentée à la Filature : montrer ceux qui ont décidé de rester au pays, à travers la trajectoire d’une jeune réalisatrice qui retourne dans sa maison familiale à Téhéran.
Des actes de résistance
Résister, d’une façon ou d’une autre. C’est une question qui traversera bon nombre de spectacle. Résister à la domination masculine comme dans les deux spectacles de danse présentés à l’Espace Tival : deux femmes, une Malgache (Judith Olivia Manantenasoa) et une Tunisienne (Oumaima Manai), histoire d’enjamber tout le continent africain, qui se libèrent sur scène de leurs entraves.
Résister à la corruption et aux inégalités, comme l’a fait Fela Kuti, le pape de l’afrobeat, à qui Serge Aimé Coulibaly et ses sept danseurs rendent un vibrant et joyeux hommage dans Kalakuta Republik.
Résister en tirant la sonnette d’alarme comme le fait Moïse Touré et Jean-Claude Gallotta qui se demandent : 2147, si l’Afrique disparaissait ? en convoquant une dizaine d’auteurs pour répondre à la question et une dizaine d’acteurs, chanteurs et musiciens sur le plateau, avec une bande-son concoctée par Rokia Traoré.
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Du 19/01/2018 au 18/02/2018
DRLe Velvet Underground, vu par Robert Combas
Puisque le rock’n’roll est avant tout une énergie, la nouvelle exposition de la Fondation Fernet Branca, inaugurée le même jour que la Nuit des musées bâlois, commencera par deux performances de Robert Combas. Le peintre français, qui a contribué à l’éclosion du mouvement Figuration Libre au début des années 80 aux côtés de Rémi Blanchard, François Boisrond, et Hervé Di Rosa, fera une performance picturale dont il a le secret. Il se produira aussi avec son groupe Les Sans Pattes, formé avec le vidéaste et plasticien Lucas Mancione, dans des sets de 20 à 30 minutes tout au long de la soirée : une performance musicale plus qu’un concert avec des projections visuelles.
Robert Combas, électron libre
Robert Combas est un artiste punk, électron libre et provocateur, qui a désacralisé l’art. L’enfant de Sète, issu d’un quartier populaire, a fait du figuratif en réaction contre les peintures intellectuelles des années 70 (art-conceptuel, minimalisme, Support/Surface…) Il a choisi des thèmes populaires, comme un pied de nez aux élites artistiques : le rock bien sûr, mais aussi la BD, la publicité, les actualités, les livres d’enfant, la vie quotidienne… Il l’a fait de toutes les manières possibles (peinture, sculpture, musique, cinéma… ) avec une œuvre très colorée et surchargée. Un esprit insaisissable : « Combas est un chamane, il peint comme un chamane, il pense comme un chamane, il vit comme un chamane », dit de lui le philosophe Michel Onfray.
La fête selon Thomas Lévy-Lasne
Dans cette exposition, on pourra aussi voir le travail de Thomas Lévy-Lasne, fin observateur de la vie contemporaine. Ses aquarelles de fêtes dans des appartements parisiens ressemblent à des photos prises sur le vif tant elles sont détaillées et semblent cadrées par celui qui a vidé le pack de bières. Il y représente une jeunesse hédoniste qui dansent, qui s’embrassent, qui s’enivrent. Mais au-delà du caractère festif, Thomas Lévy-Lasne nous oblige à regarder les détails : les cadavres de bouteilles, les cendriers plein à ras bord, les gens isolés sur leur smartphone… Et la fête tourne à la gueule de bois et évoque un certain désenchantement.
Benoit Grimbert, sur la trace des icônes rock
Enfin, Benoit Grimbert présente trois projets photographiques autour de grandes figures du rock. Il est parti sur les traces de Ian Curtis, leader de Joy Division, et de Nico, chanteuse du Velvet Underground, à Manchester, en photographiant des lieux qu’ils ont traversés ou fréquentés. Sa série Neuköln/Heroes est inspirée quant à elle par le séjour à Berlin de David Bowie dans les années 70, et de sa perception du quartier populaire du Neuköln. ☛ S.B
Infos pratiques
- Fondation Fernet Branca - Saint-Louis 68300 Saint-Louis
Renseignements :Horaires :
Du Vendredi 19 Janvier 2018 au Dimanche 18 Février 2018, du mercredi au dimanche de 13h à 18 h
Tarifs :6/8€
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